Souvenirs, souvenirs ...

mimie12385 a écrit:

Anne-Lise a écrit:

Elle était moite.

qui qu'est morte ????!
Cora ? Nadine ? Cloé ???[/b]

moite pas morte
Euh... ça ne s'écrit pas comme ça ???

Alors vous deux je vous jure x)...

Très bon debut !!
On aura la chance de voir Agathounette ?

Léa a écrit:

Très bon debut !!
On aura la chance de voir Agathounette ?

Merci !!
Suspense (c'est pas trop dur non plus... mdr) !

MAJ 2

Cora déposa un doux baiser sur la joue de son homme pour le consoler:
"Tu sais, il y a une fin à tous..."

Ces mots ne franchirent pas les oreilles de Bernard. Il s'avança et contempla, pour la énième fois, le tableau poussièreux qui était déposé près de la porte d'entrée. Dessus était inscrit en lettre noires: A VENDRE.

A vendre ? Pour Bernard, c'était inimaginable ! Il se retourna, après quelques instants, et vit les locaux du bar. LE bar de la PJ qui avait été le "Fast" puis le "Bar à vin". Un endroit mythique de la PJ que Bernard adorait. Ce bar, il était devenu une petite brasserie appelée "Au vieux Canal".

Soudain, une personne s'approcha d'eux.

" Bonjour, pour les plaintes, c'est plus là !! souria-t-il.
_ B'jour, la PJ est à vendre depuis longtemps ? voulut savoir Bernard.
_ Ca fait 1 an. L'Etat l'a mise en vente car les locaux n'étaient pas aproprié pour accueillir le public.
_ J'y ai travaillé, expliqua Bernard nostalgique.
_ Ah ! Vous vouliez sans doute voir ce que votre PJ est devenue! Je suis désolé pour ce triste spectacle. En tout cas, vos collègues ont été dispatchés dans toute la France. Enfait, je suis le nouveau proprio du bar. L'ancien est parti. A paremment, y avait plus d'ambiance sans la PJ. Bon, je vous offre un verre ?
_ Avec plaisir," accepta Cora ravie.

L'homme présenta une table au couple. Cora s'assit.

" Euh..., ce serait possible d'y entrer ? demanda Bernard.
_ Dans la PJ ? s'étonna le patron du bar à l'entente de cette idée étrange. Biensûr, la porte est ouverte, il n'y a rien à voler."

Bernard se dirigea vers la porte du bâtiment, en laissant seule Cora. Il se revoyait y entrer pour y travailler. C'était le bon vieux temps...

Oh bah que ses triste notre cher P.J en vente.

MAJ 3 (je la poste maintenant car il n'y avait pas beaucoup de suspense...)

Bernard poussa la porte en métal. Elle était lourde, un peu rouillée et poussiéreuse. ça se voyait qu'elle n'avait pas été ouverte depuis longtemps. Peu de temps après, elle pu laisser entrer son visiteur.

Il faisait sombre. Pour cause, les volets étaient fermés pour conserver l'intérieur en parfait état. En parfait état ? Poussiéreux, humide, dégradé par les insectes en tout genre... C'était triste à voir.

Bernard eut chaud au coeur de voir le hall d'accueil. Il déposa ses doigts sur le comptoir, les fit glisser et les regarda. Ils étaient noirs. Il marcha jusqu'à la porte automatique qui permettait d'entrer dans la salle principale. Elle était fermée. Le capitaine sortit son porte-feuille et y attrapa son acienne carte d'accès. Il l'avait toujours gardée avec lui comme souvenir. Bernard ne s'attendait pas à ce que la porte s'ouvre mais il inserra quand même son ticket d'entrée dans l'endroit prévu à cet effet. Comme par miracle, la porte s'entrouvit (avec quelques difficultes, certes) légèrement mais juste assez pour permettre à Bernard de passer. Il pénétra dans la salle. Il eut l'impression que tous ses collègues l'attendait, même Vincent. Tout d'un coup, il sentit une souffle caresser sa nuque. Il crut tout d'abord que c'était Karim qui allait lui présenter un plaignant. Mais non, ce n'était que son imagination. Dommage... Il continua sa redécouverte de son ancien lieu de travail tout en repensant aux si bons moments passés là.

Soudain, un bruit strident ne fit pas qu'effleurer les oreilles de M. Léonetti mais il les réveilla. C'était un claquement de porte. Pas celui de la porte par où il était entré (qu'il avait soigneusement refermé)mais le claquement d'une autre porte. Dans la PJ, il y en avait deux qui menaient à l'extérieur. Et les deux étaient tournées vers la cour. Bernard en était certain, l'autre porte n'était pas ouverte... A moins qu'il ait mal regardé...

Géniial !
Mais veut du Agathe x)

J'attend la suit avec impatience et c'est très bien ecrit !
Tu en as fait d'autre ?

Génial vivemeent la suite anne lise

Oué anne lise ses trop genial, vivement la suite.

Merci ! ça fait plaisir !!
Oui j'ai écrit la suite (j'ai pleins de MAJ là) mais... c'est très spécial... (un peu trop d'ailleur, mais j'ai toujours une imagination bizarre) Et ça ne plairait pas forcément même à moi ça me plait pas trop simplement parce qu'on connait bien les persos et qu'on y est bien ataché... Donc c'est très bizarre. Mais je pense que je vais quand poster la suite que j'ai créé. Faut s'attendre à ... du spécial...

C'est pas aussi bizarre que ça lol...

Ha ha je ne dis rien...

MAJ 4

Le coeur de Bernard accéléra son rythme. Il avait un peu peur, il fallait l'avouer. En tant que policier, il se devait d'être sans craintes. Enfin, c'est ce qu'il voulait être, une imitation du valeureux commandant Fournier. Alors, prenant son courage à deux mains, il continua sa visite tout en craignant qu'un intrus (squatteur ?)apparaisse. Il était sur ses gardes.

Juste pour se rassurer, il alla dans la réserve pour vérifier qu'aucune arme ne manque. Bien sûr, toutes les armes avaient dû être enlevée, sauf une.

Arrivée dans la petite pièce, il s'apperçut qu'elle était vide. Pas une seule bouteille d'alcool ne se cachait d'ailleur. Bernard se baissa et souleva une dalle du mur, découvrant un petit trou. Il vérifia le creux. Rien ne s'y trouvait ! Ce n'était pas normal ! Le commissaire Meurteaux y avait caché un sig sauer pro 2022. "Au cas où" disait-il. Et seul Vincent, l'ancien tôlier et Bernard connaissaient cette cachette. Donc l'arme n'aurait pas dû être enlevée lors du vidage de la PJ !

Son métronome de la vie continua de battre de plus en plus vite. La panique l'étouffait. Et il ne revint pas à la normal quand un coup de feu retentit...

Ah ah suspens !!!


A quand la suite ?

MAJ 5

Le coup de feu ne lui était pas destiné: il provenait de l'étage.

Bernard grimpa quatre à quatre les escaliers. Il ne risquait rien. La personne armée devait être seule car autrement, avant le coup de feu et pendant, il y aurait eu des cris. Donc si cette personne avait tiré, c'était sûrement sur elle. Bernard avait le devoir, en tant que citoyen et flic, de sauver cette personne.

Il se dirigea vers le bureau de Meurteaux, il ouvrit le porte: Rien. Il fit de même avec les bureaux de ses anciens collègues: Toujours Rien ! Il ne lui restait ^plus que les vestiaires et la cuisine. Il opta pour les vestiaires. Il fallait faire vite: le suicidaire était en danger de mort !

Il ouvrit la porte et entra dans la pièce. Tout était normal, aucun corps ne gisait à terre. Il y avait juste une femme adossée au mur, recroquevillée sur elle même, la tête cachée. Elle avait de longs cheveux châtains foncés et paraissait un peu envellopée. C'était ce que Bernard pouvait décrire de cette personne. Il s'approcha d'elle. Elle était peut être blessée.

"Mademoiselle ? Madame ?"appela Bernard.

La femme découvrit son visage. Elle fut surprise et ça se lisait sur son visage égratiné. Bernard fut aussi stupéfait qu'elle.

"Bernard ?!"murmura une voix si familière qui avait dû susurer beaucoup de mot doux à tant d'oreilles masculines.

C'est très bien tu as un grand talent vivement la suite anne lise trop de suspense là

MAJ 6

Bernard se ruha sur le corps de la femme.

" Agathe ! Qu'est-ce-que tu fais là ?!" s'exclama-t-il.

Il la regarda avec plaisir. Elle était toujours aussi sublime. Elle affichait son beau sourire et ses yeux pétillaient de bonheur.

Hélas, Bernard n'avait vu que les points positifs de son visage. Il remarqua aussitôt ceux négatifs. Il posa délicatement son doigt sur la joue d'Agathe.

"Qu'est-ce-qui t'est arîvé ? voulut-il savoir.
_ Oh ? ça ? .. C'est une simple égratinure ! C'est une branche... Mais ça va très bien !!"

Bernard était inquiet. Certes ce n'était qu'une petite blessure mais en y ajoutant le coup de feu suspect... Tout cela devenait bien étrange...

Citation :

Elle avait de longs cheveux châtains foncés

j'ai tout de suite deviné que c'était Agathe

qu'est-ce qu'elle fait là ??? et sans Franck ni Vincent en plus !